Suite à un appel d’offre international "Groupes à 4 ans" il a été retenu pour mettre en place à l’Institut Pasteur de Bangui, République Centrafricaine un groupe de recherche sur les vecteurs du paludisme mais suites aux troubles politiques, le G4 a été délocalisé à l’Institut Pasteur de Madagascar en Avril 2015.
Le groupe qu'Ousmane NDIATH dirige actuellement s’intéresse à la compétence et à la capacité vectorielle des principaux vecteurs du paludisme à Madagascar en passant par la caractérisation des différents types et mécanismes de résistance aux insecticides, tout cela soutenu par la mise en place d’une plateforme d’infection artificielle de plasmodium humain sur le terrain. Son groupe s’intéresse aussi aux diversités génétiques des populations anophéliennes en relation avec les stratégies de lutte antivectorielle (moustiquaires imprégnées et aspersions intradomiciliaires)
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Evidence of Insecticide Resistance to Pyrethroids and Bendiocarb in Anopheles funestus from Tsararano, Marovoay District, Madagascar.
Evidence of multiple insecticide resistance mechanisms in Anopheles gambiae populations in Bangui, Central African Republic.
Paludisme
Première Plateforme d’Infections des Anophèles par Plasmodium falciparum et Plasmodium vivax à Madagascar
La mise en place de cette plateforme unique à Madagascar résulte d’un effort conjoint entre le groupe de Catherine Bourgouin (Génétique Fonctionnelle des Maladies Infectieuses- Institut Pasteur à Paris, et visiting scientist à l’Institut Pasteur de Madagascar) et le G4 Malaria Group de l’Institut Pasteur de Madagascar dirigé par Ousmane Ndiath, avec le soutien des […]