actuellement le paludisme est le principale endémie de Madagascar et préoccupe le Ministère de la Santé par sa prévalence. Il doit sévir depuis fort longtemps car dans les régions isolées, les populations continuent de se soigner avec des plantes.
Compte-tenu de sa recrudescence, du coup de plus en plus élevé des antipaludéens de synthèse, de l’apparition et du développement des photorésistances, il est logique sinon très normal qu’à Madagascar où la richesse de la flore est bien connue, la recherche d’anti-paludéens à partir des plantes médicinales soit entreprise.
nous rapportons dans ce travail, notre démarche pour une présélection systématique des plantes médicinales malgaches.